Que Devient Jacques Hyver – Malgré la croyance populaire, Bring in the Accused ne prend pas de pause pendant les vacances ; le 25 décembre, un nouvel épisode sera diffusé avec un focus sur l’affaire Jacques Hyver. Le matin du 28 juin 1980, Michel Maury-Laribière quitte sa maison de.
Confolens (Charente) à 7h30 pour se rendre en voiture à son usine pour une rencontre avec son fils, Jean-Luc. Au bout de six kilomètres, il croise un gendarme qui lui fait signe de s’arrêter. Jean-Luc n’a pas vu son père s’arrêter, alors il est parti dans la direction opposée par crainte qu’il ne lui soit arrivé quelque chose.
Peu de temps après, il tombe sur la voiture de son père garée dans la poussière au bord de la route. La nervosité m’a saisi alors que je m’approchais de la voiture. De plus, une fois qu’ils verront l’intérieur de la voiture, leurs inquiétudes monteront en flèche. J’ai trouvé une lettre à l’arrière du siège passager.
Jean-Luc a déclaré que la note indiquait qu’ils avaient été enlevés, demandait 3 millions de francs de rançon et les avertissait de ne pas appeler la police. La date limite pour effectuer les paiements est le 2 juillet. Jean-Luc appelle la police car il s’inquiète pour son père, et l’incident fait rapidement l’actualité dans tout le pays.
En tant que dirigeant des Tuileries et Briqueteries Françaises et vice-président du Conseil National du Patronat Français, le PDG est une figure marquante de l’économie française (l’ancêtre du MEDEF). Dans une démarche sans précédent, le personnel de son entreprise a proposé de mettre en commun leurs ressources pour payer la rançon.
C’est le genre de suggestion que Jean-Luc rejetterait catégoriquement. Afin de se rapprocher des informations fournies par le ravisseur, l’équipe de police enquêtant sur l’enlèvement de l’industriel s’installe dans la maison de Jean-Luc. Les flics ont commencé leur opération “gumball”, le 2 juillet après avoir reçu la rançon.
Tous les véhicules traversant la ville sont contrôlés par les 600 agents qui sont descendus. Six jours plus tard, le ravisseur téléphone à Jean-Luc pour lui dire que son père a été tué. Malheureusement, la ligne a été coupée avant que la police ne puisse l’intercepter et enquêter.
Il a été repoussé de quelques jours. Jean-Luc rencontrera le ravisseur à une heure convenue pour échanger l’argent. Maintenant qu’il a vu que les flics les suivaient, la vraie chasse au trésor peut commencer, mais ce ne sera pas grand-chose. Jean-père Luc accepte de l’aider à enquêter sur l’enlèvement de son père à Paris après avoir entendu l’appel de Jean-promis Luc.
Une direction de gîte en Charente qui avait loué au couple “bizarre” a cependant contacté les autorités. En conséquence, la police se présente et frappe à la porte. Selon Jacqueline Marinont, “à l’ouverture, la femme a crié ne tirez pas, j’ai le captif”, indiquant qu’ils étaient arrivés au bon endroit.
Lors de leur perquisition du gîte, les policiers découvrent Michel Maury-Laribière enchaîné à un lit. Les agents l’ont relâché au bout de onze jours sans demander ni obtenir de rançon. En peu de temps, la femme qui a reconnu avoir caché le PDG l’a dénoncé et l’a condamné.
Elle a été vue avec Jacques Hyver, un homme de 29 ans à l’allure respectable. Un homme issu d’un “bon milieu” qui aime faire la fête avec de jolies dames et prendre des risques. Il voulait vivre la “dolce vita” dont il avait toujours rêvé, et c’est ainsi qu’en 1980 il décide de se débarrasser d’un grand patron.
Michel Maury Laribière, directeur de la TBF, une entreprise de carrelage, et surtout vice-président incontournable de la CNPF. Un impact médiatique extraordinaire en plaçant les meilleurs policiers français dans la paisible campagne française. L’affaire Maury-Laribière a été résolue favorablement le 9 juillet.
Dimanche dernier, « Faites entrer l’accusé », une émission de France 2 consacrée au scandale Maury-Laribière. Après 31 ans, son fils Jean-Luc garde de bons souvenirs. Kidnappeur, comme beaucoup d’acteurs de l’époque, est impossible à retrouver. Dans la matinée du samedi 28 juin 1980.
Le PDG de TBF à Roumazières, Michel Maury-Laribière, vient de sortir de Confolens dans sa CX. A Manot, un homme en tenue de police l’empêche d’accéder à l’usine par la voie principale. C’était le premier des onze jours du Calvaire. Jacques Hyver, le ravisseur de 31 ans, a été interpellé dans une discothèque de Tours en octobre.
Il venait d’une famille qui aimait à la fois les voyages et les femmes. Pendant ce temps, il a pris les devants et a tué Maury, le propriétaire d’une boîte de nuit en région parisienne. Onze jours plus tard, le patron est découvert dans un gîte rural de Dordogne, un peu par hasard, lorsque les propriétaires remarquent un comportement particulier de leurs locataires et préviennent les gendarmes.
Le patron était le vice-président du CNPF, le syndicat patronal de l’époque. Hyver a été localisé dans la région de la Charente en France le 28 juin 1980 par d’importants membres de la police française. Des ravisseurs ont arraché Michel Maury-Laribière aux abords de son entreprise de Confolens à l’aube.
Une note signée du FM attend le CX sur son siège. Le 14 septembre 1982, procès des gangsters qui avaient kidnappé Michel Maury-Laribière, industriel à Confolens (tuiliers et briquetiers, aujourd’hui Terreal), et vice-président du patronat en France, deux ans plus tôt, en 1980, dominaient l’actualité locale.
La police bordelaise a mené l’enquête qui a finalement abouti à la capture du complice de Jacques Hyver, mettant fin à l’enlèvement. En fuite, Hyver va assassiner le manager du club et continuer à réclamer de l’argent aux Maury-Laribières. Hyver et son co-conspirateur seront appréhendés et traduits en justice.
Il semble que nous n’effectuions plus de suppressions pour le moment. Un tel banditisme a visé d’autres hauts fonctionnaires, notamment le baron Empain. En 1982, Michel Maury-Laribière, alors PDG de l’entreprise, dirige les États généraux qui attirent 20 000 personnes. Il fantasmait sur le ralliement de l’élite patronale du pays pour mener une guérilla contre le gouvernement communiste de l’époque de son enlèvement.
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